Comment défend-on les droits des enfants nés pour les couples étrangers en Ukraine : BioTexCom partage son expérience

«Encore un couple étant venu en Ukraine chercher son enfant a abandonné le bébé porté pour eux », – des titres pareils apparaissent de temps en temps dans les médias et sur Internet. On sait qu’en Ukraine les programmes de la gestation pour autrui et du don d’ovocytes sont légaux et de cette raison les couples étrangers s’y rendent massivement pour devenir parents. Mais soyons honnêtes : il faut avouer que chaque parent veut un bébé en bonne santé, autrement dit, les étrangers veulent des garanties et certains pensent même que celui qui paie les violons choisit la musique.
C’est-à-dire, ils imposent leurs conditions aux cliniques. Des petites agences intermédiaires se soumettent aux exigences des parents potentiels sans réaliser le diagnostic préimplantatoire ni faire signer les parents d’intention les contrats obligeant ces derniers à ramener le bébé né dans leur pays de résidence. Au final, il y a des situations tristes où les bébés sont délaissés et ils finissent dans les orphelinats.

La clinique reproductive BioTexcom tient beaucoup à la protection des droits des parents et des bébés à venir. La partie d’importance majeure est le diagnostic préimplantatoire obligatoire des embryons dont le nom international est Preimplantation Genetic Diagnostic et cette procédure est réalisée à la clinique pendant plusieurs années. Les embryons sont vérifiés très précisément avant d’être transférés dans l’utérus ce qui permet d’éviter les embryons atteints des anomalies chromosomiques, par exemple la trisomie 21 (le syndrome de Down). En outre, les parents d’intention peuvent choisir le sexe du bébé. De cette façon, la probabilité d’avoir un enfant avec une anomalie génétique est minimale. Cependant, il est impossible d’exclure totalement le risque de complications à la naissance, même dans les pays les plus développés. L’accouchement comme tel est également compliqué comme processus et chez une mère dite « ordinaire », et chez une mère porteuse. Même après la naissance d’un bébé sain, le risque de développement des pathologies pendant le premier mois de sa vie reste élevé. Ainsi, selon les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé les complications les plus fréquentes lors de l’accouchement sont l’asphyxie du nouveau-né, les infections concmitantes et l’accouchement prématuré : ceux-ci sont les statistiques mondiales des accouchements « ordinaires ». En cas de la gestation pour autrui, si une situation comme ça arrive pendant un accouchement sur 1000, la clinique couvre tous les frais de traitement du bébé en Ukraine, ainsi que le logement des parents pendant toute la période d’hospitalisation du bébé jusqu’à la sortie. De cette manière, il est clair que nous prenons en charge les frais encourus pendant le séjour du bébé à l’hôpital ukrainien.

Une des conditions obligatoires de la participation au programme de la gestation pour autrui est la signature du contrat avec les parents d’intention conformément auquel ils s’engagent à ramener l’enfant dans leur pays de résidence. Afin de protéger les droits des futurs enfants, les couples étrangers souhaitant devenir parents doivent se rendre compte du sérieux de leurs intentions et du niveau de responsabilité à assumer.

En surplus, les futurs parents doivent passer par un entretien avec le psychologue qui consulte le couple pour vérifier s’ils sont prêts d’accueillir un enfant non seulement physiquement, mais d’en assumer pleinement la responsabilité.